« Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force.
Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre.
Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même. »   Tecumseh

 

Que j’en ai conscience ou pas, quelques soient les circonstances, j’ai une énorme influence sur ma vie !
Cela commence par mes pensées, ou plutôt mes croyances (ma carte du monde qui définit le territoire de mes pensées).
Même si elles peuvent être influencées… mes pensées m’appartiennent.
Quelles que soient les circonstances, je peux, si c’est mon choix, et que j’en fais l’effort, (re)prendre le pouvoir sur mes pensées… et par conséquence, petit à petit, sur ma vie.
Certains (influenceurs ?) m’expliqueront que c’est la réalité qui détermine ma vie.

Qu’est-ce que la réalité ?
La réalité est-elle objective ? Voire même, existe-t-elle en dehors de moi ? Pas pour la physique quantique ! En tout cas, sans avoir besoin d’explication scientifique, si la réalité était objective, intangible, pourquoi en avons-nous des descriptions si variées ? Par exemple, combien de versions y aurait-il si on demande aux dix participants d’une réunion d’une demi-heure de raconter le contenu des échanges et de décrire al salle de réunion ? La réalité est sujette à nos perceptions et nos interprétations (notre filtre, guidé par nos croyances), ainsi quand nous en parlons elle est déjà subjective… Qui plus est, ces informations (perceptions et interprétations) sont modifiables à tout moment, alors que pas la réalité.
As-tu remarqué qu’à situation égale, une personne optimiste semble beaucoup plus satisfaite de sa vie qu’une personne pessimiste ?
Leur différence repose a priori, au départ du moins, sur leurs lectures de leur vécu. Leur point de vue (optimiste ou pessimiste) est une croyance (leur grille de lecture du monde). Ce que chacun a pu constater c’est que mon regard optimiste me facilite l’accès à des solutions ou opportunités, que je peux saisir et activer. Mes actions forgent ainsi ma nouvelle réalité, et cela évolue au gré de mes interprétations (guidées par mes croyances). Au contraire, quand ma tendance est au pessimisme (n’est-on pas tous plus ou moins l’un ou l’autre selon les moments ?) je me focalise sur ce qui pose problème (ou même ce qui est susceptible de me poser problème) et j’identifie des obstacles. Vais-je alors faire l’effort de les franchir (sans même identifier la porte, que mon côté optimiste aurait perçue) ou vais-je renoncer de par cette difficulté ?
Selon le point de vue qui me guide, les chemins empruntés divergeront vite !

Quel rapport avec la gratitude ?

La gratitude, qui allie acceptation et remerciement, est un choix de lecture extraordinairement puissant.

La gratitude n’est-elle pas la base de la prière ? Par opposition à la plainte ou aux supplications ?
Demande comme si tu avais déjà obtenu = remercie pour ce que tu vois comme ton bel avenir.
Alors que la plainte ou la supplication focalise sur ce qui pose problème, ce qui naturellement l’amplifie (lui donne plus de place).
En remerciant pour ce que j’ai d’agréable, j’en amplifie la conscience et cela éclaire ma journée (douche matinale, rayon de soleil, croquer un fruit, un signe pour me saluer…). Je m’en réjouis.
En remerciant pour ce qui me semble actuellement désagréable, je m’oriente vers le sens que cela a pour moi et vers la résolution (l’embouteillage, la maladie, la dispute…). Quel est le message (le cadeau mal emballé) de ce qui arrive ? De quel déséquilibre résulte cette situation ? Déséquilibre au niveau de mes pensées, de mes émotions, de mon corps, de mes relations… Comment pourrais-je m’en occuper avec amour pour moi ? Suis-je prêt.e à me respecter davantage ?
Un exemple, de plus en plus courant, de déséquilibre avancé est le burn out. Or les personnes qui ont vécu cette expérience douloureuse reconnaissent, a posteriori, qu’elles ont eu des informations préalables sur leur déséquilibre… et qu’elles ont préféré ne pas les prendre en considération pour rester fidèle à des messages extérieurs (engagement professionnel, famille…) et en rester à l’habitude acquise de ne plus se fier à elles-mêmes (sacrifice de soi). C’est au final, très cher payé.

Quel est l’intérêt de la gratitude ?

La gratitude attitude m’incite à développer ma conscience de ce que je vis.
Chaque soir, je pose un regard bienveillant sur ma journée et remercie pour ce qui m’a été agréable.
Chaque matin, je remercie pour la journée qui s’annonce et annonce ce que j’en espère (j’oriente mon regard).
Remercier, c’est ouvrir mon cœur au meilleur, c’est m’émerveiller.
C’est accueillir ma puissance personnelle, et lui reconnaître le pouvoir de transformer chaque situation.

La gratitude me permet de surfer, avec sérénité, sur les vagues de la vie…
qui n’est pas qu’un long fleuve tranquille ! 

Pour célébrer cette journée importante pour moi, et valoriser l’importance des liens humains,
je t’offre le mode d’emploi pour créer ton groupe de dynamisation : un outil pour amplifier la puissance personnelle au travers d’un travail de coopération.

Gratitude, une liberté fondamentale inaliénable

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