NB : j’emprunte ce néologisme à Emmanuel Druon,
chef d’entreprise auteur d’économie (Ed° Actes Sud)


Préalable :
le contexte viral et mon changement…  Voici enfin l’article prévu il y a 1 mois. Il faut dire que durant ce mois ma vie s’est, pour le moins, accélérée (et pourtant, en prime, je crois avoir exprimé, avant qu’on en parle vraiment par ici, ce virus tant à la mode ces jours-ci, avec des symptômes des plus étranges et une énorme fatigue), bref je n’ai pas trouvé le temps de m’occuper du blog. Je vous parlerai plus tard de ce mois intense, et j’ai prévu de célébrer cette transformation dimanche 17 mai (bienvenue à mon bureau, à Mondeville). Quand j’ai choisi la date, le confinement n’était pas encore d’actualité ! J’espère que le 17 nous serons libres et heureux de nous retrouver pour célébrer mon changement de vie.
Cet article prévu de longue date me semble encore plus (im)pertinent en cette période de confinement. N’est-ce pas l’occasion pour nous de reconsidérer notre mode de vie ? Et éventuellement, d’y injecter plus de bon sens ? D’après moi, l’écologie relève du bon sens, c’est à dire de l’adaptation de notre mode de vie aux règles de la nature… car malgré tout, nous faisons partie de cette nature que nous cherchons à contrôler. Stop à ce blabla. Mon propos, ci-après est de nous inviter à réfléchir à nos comportements, et peut-être à identifier des gestes écologiques simples qui seraient simultanément source d’économies .
Si ce sujet t’intéresse, j’en profite pour te rappeler qu’il y a déjà en ligne quelques articles sur ce thème :   sèche linge gratuit , arrosoir WC, climatisation maison, électricité passive

Comment instaurer une nouvelle relation à nos déplacements ?
Actuellement limités par l’Etat, je trouve que c’est l’occasion « rêvée » de prendre du recul et reconsidérer nos habitudes désormais obsolètes.
Qui plus est… d’après les neurosciences, il faut 3 à 4 semaines pour recréer de nouvelles habitudes. Ces 30 jours nous sont offerts !
Alors, on y va ?
Ce que je propose est basé sur mes expériences, l’idée est de te les partager pour éventuellement les tester et peut-être t’approprier ce qui fait sens pour toi.
Globalement mes gestes écologiques sont sources d’économies, et souvent de santé d’où le titre.
Par exemple, quand j’utilise mon (vieux, et sympathique) vélo pour aller au boulot et au marché, je ne consomme pas de carburant, et en plus je me bouge.
Ou, quand j’organise mes courses ou démarches en fonction de mes RDV, j’économise à la fois énergie et temps.

NB : L’énergie au-delà des distances… Les déplacements sont des échanges, comme le sont les emails et courriers. Chaque échange, y compris les emails consomme de l’énergie et donc pompe des ressources à la planète. Je suis assurément un très mauvais exemple pour les emails car je ne les efface pas assez régulièrement. En effet, j’ai découvert que nos emails sont en fait stockés dans des serveurs qui consomment des quantités faramineuses d’énergie ! Ainsi cette période de confinement nous offre peut-être l’occasion de faire aussi le ménage dans nos connexions Internet.

Auto-coaching :

Quel est mon mode de déplacement privilégié ? (vélo, marche, voiture, covoiturage, train, avion, bateau, trottinette…) en fonction de quel(s) critère(s) ? (distance, temps, météo, habitude…)
Quel est son impact sur la nature ? Sur moi (santé physique, moral…) ? Sur mes finances ?
Comment j’organise mes déplacements ? Je bouge quand l’occasion se présente ou rassemble de préférence mes destinations (itinéraire pour plusieurs objectifs de manière à limiter les kms) ?
Qu’est-ce que cet article me donne envie d’expérimenter ?

Comment se déplacer écolonomiquement ?

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